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Portée par la présence de Rupert Evertt, qui joue le rôle de Wilde avec une conviction passionnée, et de Freddie Fox qui campe un Alfred Douglas plus nuancé que de coutume. Car le baiser de Judas, c'est le baiser du garçon araignée ; la passion wildienne ne peut se passer d'un Judas et pour lui aucun nouvel évangile n'a été retrouvé. Qu'importe mes critiques, je n'ai pas vu la pièce mais une amie qui elle l'a vue, m'assure que Freddie Fox donne au personnage de Bosie une dimension de grâce enfantine et solaire. Assez de grâce pour que ce Judas prenne la lumière, tant mieux.
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